Dans l'inconscient collectif, lorsque l'engagement devient commun, il devient forcément douteux. C'est ce qui arrive au acteurs du marché du café, où quasiment toutes les marques se disent désormais éthiques et le clament haut et fort grâce aux multiples labels Fairtrade et bio existants.     

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Notre concept a justement été de tirer profit de ce malheureux constat, en sortant Terramoka des sentiers battus et en prenant le marché à contre-pied. On ne parle plus de marque responsable mais perfectible. Tout objectif atteint en appelle donc un nouveau...

 

Selon Terramoka, être responsable devrait être normal. C'est pourquoi la marque ne se contente pas des solutions existantes et met le doigt ou ça fait mal. 

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Il est facile de demander aux citoyens de limiter leurs déchets, de manger localement mais pas d'arrêter de boire du café. Pourtant,, celui-ci est produit en Asie, en Afrique et en Amérique, mais pas en Europe. Le transport est donc la principale source d'impact carbone de la marque. Terramoka ne s'en cache pas, mais ne se laisse pas abattre en cherchant en permanence des solutions pour limiter cet impact et celui de ses clients.

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L'axe qui matérialise cette idée : l'exploration durable. Chez Terramoka, chaque accomplissement recommence par une nouvelle question. Un message épaulé d'un dispositif sur la réthorique ou ateliers, conférences, un think tank (Grain à moudre) sont créés pour toujours aller de l'avant responsablement. 

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